INVITATION DANS LE ROYAUME
DE LA LOUTROLOGIE
INTRODUCTION
ルドビク トオマス / le Royaume de Lutra / copyright ©
INTRODUCTION
Cette déesse, cette sirène en fourrure des milieux aquatiques, est un véritable chef-d'oeuvre de Dame nature, sa morphologie et son anatomie sont remarquablement bien adaptées afin d'évoluer dans l'eau, c'est une formidable torpille dans l'eau. Sa fourrure dense, ses yeux, sa longue queue musculeuse ou ses pattes palmées sont des outils vraiment fantastiques et bien pensés pour cette espèce qui adore vivre dans l'eau, on la nomme sur le plan linguistique et scientifique mammifère ripicole, ce qui veut dire que c'est une espèce qui colonise les rives, et donc utilise l'élément liquide pour une partie seulement de leur vie quotidienne. De la famille des mustélidés, au même titre que le blaireau, la fouine ou la martre, se carnivore amphibie et noctambule est un redoutable pêcheur, la loutre d'Europe rivalise de prouesses et de ruses pour arriver à ses fins afin de capturer sa pitance écailleuse sa nourriture préférée, mais affection surtout une espèce dans son régime alimentaire, c'est la truite elle en raffole, sans bouder toutefois les autres denrées alimentaires comme les batraciens ou les écrevisses font également partie de son régime alimentaire. Les mensurations de la loutre surprennent souvent et le dimorphisme sexuel est très important, le mâle étant beaucoup plus imposant, sa taille moyenne arpente le 1,25 mètre pour 9 kilogrammes, mais peut atteindre couramment 11 kilogrammes, quant à la femelle elle, affiche une longueur moins importante, elle approche plus de 1,05 mètre pour un poids d'un peu plus de 7 kilogrammes.
Autrefois présente dans toute la France métropolitaine, excepté la corse, de nos jours elle a disparu de plus de la moitié de son aire de répartition originelle au cours du XXe siècle. De nos jours, la loutre est maintenant protégée, mais elle entreprend un très lent retour, mais l'espèce est encore loin pour rétablir ses populations vers un niveau initial, déjà à elle seule sa biologie en fait une espèce fragile et, après l'avoir surtout chassée durant de nombreuses années pour sa fourrure, maintenant ce mustélidé doit faire face à de nouvelles menaces, notamment l'intensification du réseau et du trafic routier où sa fort mortalité est très importante. De nos jours, la loutre pâtie également d'une réputation excessive de grande dévoreuse de poisson, sa destruction étant de ce fait, cette chasse est très encouragée par les responsables de la pêche et les propriétaires d'étangs, mais, mythe ou réalité la loutre est-elle une grande consommatrice de poisson, consomme-t-elle chaque jour son propre poids en poisson, et bien non en fait la loutre n'a besoin que de 5% à 10% de son poids corporel en poisson, cela lui suffit largement, soit en moyenne moins de 1 kilogramme de nourriture par adulte et par jour.
La loutre est rare, même là où l'on indique une présence prononcée dans certaines parties du territoire français comme en Bretagne ou en Corrèze est rare, les personnes qui peuvent évoquer d'avoir pu observer la loutre d'Europe dans son milieu naturel. Seul pour un oeil bien exercé, l'on peut éventuellement trouver des indices et des traces, comme par exemple, des épreintes terme que l'on donne à ses laissées ou crottes, mais l'ont pourra aussi trouver des empreintes de pattes ou des reliefs de repas comme des carnages sur les batraciens, notamment de crapauds lors de l'époque de frai de l'espèce ou l'on peut observer les restes de peau et de tête sectionnées, ces reliefs de repas sont très caractéristiques à la loutre, car elle ne consomme que la partie inférieure du crapaud afin d'éviter au maximum les glandes parotoïdes dont ces derniers sont très toxiques.
Comme suite à l'intérêt croissant porté à cette espèce en France et à l'étranger, sa biologie est aujourd'hui relativement bien connue, même si certaines parcelles de comportement subsistent encore. Le présent blog le Royaume de Lutra souhaite, dresser un portrait de la loutre d'Europe, accessible à un public diversifié, pour certains articles plus complets en insistant sur les aspects de la vie de l'espèce plus que d'autres. Ce blog vous contera donc de merveilleuses histoires et, il vous invitera surtout à mieux la connaître, la protéger et l'aimer.
Autrefois présente dans toute la France métropolitaine, excepté la corse, de nos jours elle a disparu de plus de la moitié de son aire de répartition originelle au cours du XXe siècle. De nos jours, la loutre est maintenant protégée, mais elle entreprend un très lent retour, mais l'espèce est encore loin pour rétablir ses populations vers un niveau initial, déjà à elle seule sa biologie en fait une espèce fragile et, après l'avoir surtout chassée durant de nombreuses années pour sa fourrure, maintenant ce mustélidé doit faire face à de nouvelles menaces, notamment l'intensification du réseau et du trafic routier où sa fort mortalité est très importante. De nos jours, la loutre pâtie également d'une réputation excessive de grande dévoreuse de poisson, sa destruction étant de ce fait, cette chasse est très encouragée par les responsables de la pêche et les propriétaires d'étangs, mais, mythe ou réalité la loutre est-elle une grande consommatrice de poisson, consomme-t-elle chaque jour son propre poids en poisson, et bien non en fait la loutre n'a besoin que de 5% à 10% de son poids corporel en poisson, cela lui suffit largement, soit en moyenne moins de 1 kilogramme de nourriture par adulte et par jour.
La loutre est rare, même là où l'on indique une présence prononcée dans certaines parties du territoire français comme en Bretagne ou en Corrèze est rare, les personnes qui peuvent évoquer d'avoir pu observer la loutre d'Europe dans son milieu naturel. Seul pour un oeil bien exercé, l'on peut éventuellement trouver des indices et des traces, comme par exemple, des épreintes terme que l'on donne à ses laissées ou crottes, mais l'ont pourra aussi trouver des empreintes de pattes ou des reliefs de repas comme des carnages sur les batraciens, notamment de crapauds lors de l'époque de frai de l'espèce ou l'on peut observer les restes de peau et de tête sectionnées, ces reliefs de repas sont très caractéristiques à la loutre, car elle ne consomme que la partie inférieure du crapaud afin d'éviter au maximum les glandes parotoïdes dont ces derniers sont très toxiques.
Comme suite à l'intérêt croissant porté à cette espèce en France et à l'étranger, sa biologie est aujourd'hui relativement bien connue, même si certaines parcelles de comportement subsistent encore. Le présent blog le Royaume de Lutra souhaite, dresser un portrait de la loutre d'Europe, accessible à un public diversifié, pour certains articles plus complets en insistant sur les aspects de la vie de l'espèce plus que d'autres. Ce blog vous contera donc de merveilleuses histoires et, il vous invitera surtout à mieux la connaître, la protéger et l'aimer.
ルドビク トオマス / le Royaume de Lutra / copyright ©
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